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 (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now

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MessageSujet: (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now   (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now EmptyMer 3 Aoû - 18:02


I KNOW YOU WANT ME TOO, EVEN IF IT'S NOT NOW
BUT DON'T YOU DARE FORGET,
THAT MOMENT THAT WE HAD,
I KNOW WE BOTH FELT IT
En réfléchissant chez toi à tout ce qui allait se passer dans les jours prochains, tu en étais arrivé à une dure vérité que tu ne pouvais plus éviter à présent. Tu n'étais qu'à quelques mois de ton mariage avec ta fiancée, et tu devais couper les ponts avec celle qui t'attirait bien plus que ta future femme. Is. Is, le nom de celle qui t'attirait bien plus qu'elle ne le devrait. T'aimais tout d'elle. Elle et sa douce peau blanche, et le goût de ses lèvres, ses yeux qui te perforaient de part en part quand elle te regardait, et même ses cheveux bruns et la sensation que t'avais quand tu glissais tes mains dedans.  Is, tu l'avais déjà vu plusieurs fois. C'était une très bonne amie, et même plus. Oui plus, parce qu'entre vous, et tu ne le niais pas, la chaleur montait à chaque fois un peu trop rapidement. Vous passiez d'un seul coup des baisers timides sur la joue aux baisers brûlants sur les lèvres, tu passais rapidement entre les moments où t'osais à peine lui prendre la main à ceux où tes doigts caressaient chaque parcelles de sa peau. Et ça te plaisait, parce qu'elle était celle qui te faisait te sentir.. Comment déjà ? Vivant. Elle faisait battre ton cœur si fort, si violemment contre ta poitrine que lorsque tu n'étais pas avec elle, t'avais cette impression qu'il s'était arrêté de battre. Cette impression que tes poumons refusaient que tu respires, que ton sang s'arrêtait de couler. Et même ta fiancée ne la remplaçait pas sur ce train-là.

Alors tu lui avais envoyé un message, doux, qui n'était pas comme ceux que tu échangeais avec les autres. Juste quelques mots pour lui dire que tu voulais lui parler, que tu voulais la voir. Salut princesse, j'ai besoin de te parler. Je viens te voir dans une heure, histoire que tu paniques pas trop et que t'ai le temps de te réveiller un peu. Parce qu'il était tôt. Il était aux alentours de dix heures du matin, parce que même quand t'étais en congé tu te levais tôt. Ou alors, tu avais l'impression de gâcher tes journées à dormir. Sauf si c'était dormir avec la femme qui t'attirait. Oh parce que oui, tu n'aimais pas dormir avec ta fiancée. Tu te sentais oppressé dans tes propres mensonges, tu avais l'impression de devoir affronter la réalité, de devoir affronter tes démons. Et c'était toujours comme ça avec elle. Quand tu la regardais, tu cachais à quel point tu ne ressentais qu'indifférence pour elle, tu lui souriais réellement en pensant à celle qui faisait battre ton cœur et tu ne l'embrassais jamais plus longtemps que deux petites secondes. Tu ne la touchais presque pas, ou presque jamais, et tu ne pouvais pas penser à quelqu'un d'autre qu'à Is quand elle te parlait de votre futur mariage. T'étais stupide à ce point, au point de te marier avec une femme pour qui tu ne ressentais rien. À qui, en six mois de fiançailles, tu n'avais jamais dit ces mots, mots que tu n'avais plus prononcé depuis quatre ans, alors qu'elle elle te le disait. Je t'aime. Non, ces mots tu voulais les dire à une autre. Mais ton cœur refusait de l'accepter.

Et puis t'avais finis par commencer à te préparer, tu t'étais habillé convenablement, tu t'étais recoiffé, ou du moins ce que t'appelais être coiffé, et t'avais attrapé ton téléphone que tu avais mis dans ta poche. L'horloge de ton salon affichait 10:45AM. Tu pouvais partir tranquillement maintenant. T'avais payé le bus pour y aller. Oui parce qui disait que tu n'avais aucun papier américain disait aussi que tu ne pouvais pas passer ton permis ici, même si tu avais le permis bulgare. Non, il ne fonctionnait pas. Pas en Amérique. En France et en Russie, pourtant, on l'avait accepté. Mais l'Amérique était toujours à vouloir faire des choses différentes.  Et puis tu étais descendu du bus quand tu étais arrivé dans le quartier d'East Boston, et tu avais marché un moment avant d'arriver à l'appartement d'Is. À force, tu connaissais le code. Si bien que tu n'avais pas besoin de réfléchir pour ouvrir la porte. T'avais entré le code à quatre chiffres, et puis t'avais poussé la porte. Et tu étais allé jusqu'à la porte de la jeune femme, t'avais toqué deux fois contre la porte, comme à ton habitude. Les autres toquaient normalement trois fois, alors tu faisais tout pour te démarquer, pour qu'elle sache que c'était toi. Maintenant, avec le temps, elle avait probablement l'habitude.
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MessageSujet: Re: (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now   (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now EmptyMer 3 Aoû - 18:41

I KNOW YOU WANT ME TOO, EVEN IF IT'S NOT NOW
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Is fut réveillée par le vibreur de son téléphone. Elle ronchonna. Qui s'amusait à lui envoyer un sms à cet heure-ci? Elle l'attrapa en gardant les yeux fermés et en restant sous les draps de son lit.  Salut princesse, j'ai besoin de te parler. Je viens te voir dans une heure, histoire que tu paniques pas trop et que t'ai le temps de te réveiller un peu. Un sms de Kolyo. Son coeur se resserra dans sa poitrine, une sensation étrange la traversa. Elle n'avait jamais ressenti cela auparavant. Elle secoua sa petite tête et se précipita sous sa douche. Il lui fallait une douche bien froide pour oublier ce qu'elle venait de vivre. Is, elle ne s'attachait pas et pourtant avec le beau brun, c'était différent. Ça lui faisait peur, ça lui faisait tellement peur d'avoir des sentiments pour lui. Oui, elle avait des sentiments. Elle passa sa tête sous l'eau avant de sortir de sa douche et d'enrouler une serviette autour de son corps. Ils étaient de très bons amis, mais aussi des amants. Ça lui plaisait à Is d'avoir des coups d'un soir, mais là cela devenait limite flippant. Elle soupira avant d'enfiler un jean et un t-shirt blanc et elle se servi un verre de lait tout en tapant du pied. Un reflex, elle était stressée encore quelque chose qu'elle n'avait pas l'habitude de vivre. Elle n'était jamais stressée à part quand elle apprenait qu'elle était malade, là, elle paniquait en très grande hypocondriaque qu'elle était. Elle relit alors son sms. Elle n'aimait pas quand il l'appelait princesse, elle avait l'impression d'être trop importante à ses yeux. Elle l'était? Elle ne savait plus trop. J'ai besoin de te parler. Parler de quoi au juste? Is n'était pas habituée à ce qu'un homme se pointe pour se confier auprès d'elle. À chaque fois, c'était un tour sous les draps et puis ciao bye bye. Peut-être parce qu'ils étaient amis avant tout et qu'il voulait lui annoncer quelque chose. Elle ne savait pas trop également. Sa patience avait des limites, mais heureusement quelqu'un toqua deux fois à sa porte, elle comprit que c'était lui. Elle se précipita vers la porte d'entrée et aperçu alors le visage de Kol. Un sourire forcé se dessina sur son visage, elle était encore chamboulée la demoiselle, il ne fallait pas lui en vouloir.  - Salut..- S'exclama-t-elle timidement en le laissant entrer. - Tu fais comme chez toi, tu le sais bien. Je te sers à boire? - Demanda-t-elle avant de s'enfuir vite dans sa cuisine, en essayant de trouver une excuse pour ne pas le regarder dans les yeux. De mieux en mieux Is...
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MessageSujet: Re: (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now   (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now EmptyMer 3 Aoû - 19:17

Et voilà qu'arrivé, elle avait finit par t'ouvrir la porte. Elle semblait stressée, chamboulée, et son sourire te montrait qu'il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond. Mais tu ne disais rien. Parce que tu te disais que ça n'avait probablement pas de rapport avec toi, mais si tu savais. « Salut. » Tu lui avais répondu en entrant. Et puis tu t'étais tourné vers elle quand elle t'avait proposé à boire. T'avais l'impression qu'elle essayait de te fuir pourtant, mais tu ne savais pas pourquoi. « Non merci, ça ira.. Je vais pas rester longtemps. » Et puis tu l'avais vu fuir dans sa cuisine. Elle essayait de te fuir, là t'en étais certain. Mais pourquoi ? Alors ça, ça t'en avais aucune idée. Mais tu avais besoin de lui parler, alors tu l'avais suivie. Tu savais que ça allait être dur de lui expliquer. Alors t'étais même prêt à la faire te haïr s'il fallait, pour qu'elle s'éloigne de toi. Tu ne voulais pas blesser Solice, ni même Is. Et tu savais que si tu gardais les deux proches de toi, t'allais probablement le faire. Ou t'allais même te blesser toi-même, alors tu devais en éloigner une. Et dans ton crâne il n'y avait pas d'autre solution. Parce que oui, t'en avais besoin de ce mariage. Parce que oui, t'avais pas envie de partir en prison. « Attends Is.. Il faut que je te parle. » T'étais entré dans la cuisine après ces mots-là. Tu ne risquais pas de trop t'approcher d'elle. Déjà à cette distance, tu pouvais entendre ton cœur battre, comme des pas de géant à côté d'un village. On entendait que ça, qui faisait boum, boum, boum et bien trop fort. Et ça te brisait le cœur, au fond, de devoir couper les liens avec elle. « Il faut qu'on arrête. Tout. Les baisers, les caresses, qu'on arrête de coucher ensemble aussi.. » T'avais dis ce qui était le plus simple à dire, mais tu n'arrivais pas à prononcer les mots du pourquoi. Tu sentais comme si tu te trahissais toi-même, à lui dire ça. Parce que depuis que t'étais fiancé, t'avais pas arrêté de l'embrasser elle, ni même de la toucher, rien de tout ça. C'était ton obsession, tu ne pouvais pas l'abandonner aussi facilement. Tu n'étais presque plus rien sans elle, rien qu'un pauvre corps sans vie, qui était indifférent à tout autour de lui. Mais dans le fond, tu t'attendais à ce qu'elle reste encore un moment là, présente, peut-être à attendre que tu te lasses de mentir. Parce que tu ne faisais que ça. Et puis t'as mordu tes lèvres. C'était un supplice de lui dire, ce qui montrait bien quelle erreur tu étais en train de faire. « Je vais me marier. Et je.. Je peux plus continuer. J'ai pas envie de la blesser. Ou de te blesser. Alors on doit juste arrêter. » T'étais peut-être trop franc à ce moment. T'avais pas prévu de rester après lui avoir dit ça, mais c'était comme si on avait vissé tes pieds au sol. Tu n'arrivais pas à partir. Tu ne pouvais pas.
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MessageSujet: Re: (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now   (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now EmptyJeu 4 Aoû - 23:25

Kol l'avait suivi. Merde! Elle ravala sa salive, elle était dos tourné à lui. Ouf, il n'allait pas rester longtemps. S'en était trop pour son petit coeur qui n'était pas prêt pour ce genre de choses, elle pensait bien évidemment à des sentiments. Sa voix la stoppa immédiatement dans ce qu'elle faisait. Elle chipotait pour s'occuper, pour ne pas stresser. Qu'est-ce qu'il allait bien lui dire. Elle espérait qu'il n'avait pas de sentiments pour elle parce qu'il pouvait être certain qu'elle allait le remballer, qu'elle ne pourrait pas l'aimer comme lui l'aimait. Elle écoutait et se retourna brusquement en s'appuyant sur le plan de travail de sa cuisine. Elle fut un peu rassurée lorsqu'il prononça ces quelques mots. Plus de sexe, plus rien? Ok.. Mais pourquoi? Elle ne pensait pas être un mauvais coup. Elle avait l'impression qu'il rompait avec elle alors qu'il n'était pas ensemble. D'habitude c'était elle qui disait ce genre de choses. Les rôles s'inversaient et ça ne lui plaisait absolument pas cette histoire.  Il resta un moment sans rien dire avant de reprendre. Le choc! Il allait se marier. Tant mieux pour lui. Elle était complètement apaisée. - Félicitation Kol.- S'exclama-t-elle après un long moment de silence. Pourquoi il aurait envie de la blesser, il n'y avait rien de plus entre eux, si? Elle ne savait plus quoi la brunette. Elle était perdue alors qu'elle ne l'était jamais. Ce garçon allait la rendre folle. - Pourquoi tu crois que cela va me blesser? Il n'y avait rien de concret entre nous hein.. On était juste am.. Ami, des amis qui s'amusaient ensemble. Je suis heureuse pour toi. - Is disait rarement des choses gentilles, c'était rare et pourtant elle avait prononcé ces mots comme une lettre à la poste.  Elle le regarda profondément avant de voir qu'il n'allait pas très bien le pauvre garçon. - Est-ce que ça va? - Demanda-t-elle en s'approchant de plus en plus, presque dangereusement. Malgré que Kol était officiellement pris, elle le trouvait toujours aussi attirant. Malgré qu'elle évitait de penser à ses sentiments pour lui, elle ne pouvait pas résister à ces beaux yeux. Elle était attirée comme un aimant. C'était la tentation à l'état pur. - Ça va me manquer tout ça, mais bon, c'est pas grave. J'ai déjà plusieurs prétendants à ma porte. - Elle redevenait vicieuse, pire qu'une vipère. Isobel la sorcière ensorcelante.  
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MessageSujet: Re: (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now   (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now EmptyVen 5 Aoû - 12:42

Silence. Et il t'avait paru bien long. En réalité, ça avait bousculé tout ce qu'il y avait dans ton corps. Qu'est-ce que t'étais stupide. T'étais stupide, complètement. Elle ne ressentait pas forcément la même chose que toi, elle en avait certainement rien à faire de toi. Mais t'étais perdu, presque sans repères. Quelle saloperie c'était, les sentiments. T'espérais à cet instant être ce qu'on disait de toi, en Bulgarie. Un tueur en série qui ne ressentait ni amour, ni peine, ni culpabilité ou empathie. Qui ne ressentait rien, de qui le cœur ne battait plus. Et puis elle avait enchaîné. C'était comme si t'avais peins sur ton propre cœur une cible et qu'elle touchait le plein centre avec chacun de ses mots. T'étais venu parce que tu ne voulais pas la blesser, mais elle te blessait en retour. Pourquoi tu pensais que ça allait la blesser ? T'étais qu'un ami pour elle. C'est rien de plus. Pourquoi tu croyais qu'il y avait quelque chose d'autre, que vos baisers et vos caresses, et tout les moments bien trop tactiles que vous passiez voulaient dire quelque chose ? C'était stupide, t'étais stupide. Et puis elle t'a posé une question en s'approchant de toi. Même si tu te disais qu'il ne fallait pas, elle t'attirait. C'était une attraction indéniable. C'était comme si vous aviez tout les deux été conçus pour vous attirer, mais qu'il y avait eu une autre pièce qui vous avait éloigné. T'as doucement hoché la tête à sa question. Non, ça n'allait pas. Tu faisais la pire connerie du siècle, parce que tu avais peur de ne plus pouvoir la voir si jamais tu lui demandais à elle de t'épouser. Tu te détruisais toi-même et tu t'enlevais ce que t'aimais vraiment, et pour quoi ? Pour une autre femme avec qui tu allais te marier, alors qu'elle ne te faisait rien ressentir. Ses derniers mots t'avaient foutu un véritable coup. Elle pensait déjà à te remplacer ? Alors tu n'étais pas si important que ça, c'est ça ? Et tu t'es approché à ton tour, tu l'as poussée contre le plan de travail de sa cuisine, et t'as posé une de tes mains sous son visage, parce qu'elle était bien plus petite que toi, pour la regarder dans les yeux. « À moi aussi ça va me manquer. » Et puis t'avais approché ton visage du sien. T'avais envie de l'embrasser, de ressentir le goût de ses lèvres, mais ça non plus c'était plus possible. Alors t'as juste embrassé sa joue, et tu t'es reculé. Même si ça te brisait totalement le cœur. « J'ai un.. Un mariage à préparer. Alors j'vais juste.. Te laisser tranquille, j'imagine ? T'as certainement des prétendants qui vont venir me remplacer après tout. » Jalousie. Et ça se comprenait à tes mots, ça s'entendait à ta voix.
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MessageSujet: Re: (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now   (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now EmptyLun 8 Aoû - 12:23

Kol la poussa alors contre le plan de travail avec une telle force qu'elle ne pouvait guère s'enfuir, ça l’excitait la tigresse. Il déposa sa main sur sa joue avant de plongé sur regard dans ses petits yeux sournois. Elle retrouvait alors ce Kol, ce Kol qui n'avait pas l'air d'avoir des réels sentiments pour elle et elle préférait. Le regard déçu lorsqu'il déposa simplement ses lèvres sur sa joue. Elle le regarda s'éloigner en haussant un sourcil. Mais qu'est-ce qu'il fabriquait au juste? Qu'est-ce qu'il avait dans la tête bon sang? Elle sentait de la jalousie dans cette phrase qu'il venait de prononcer et ça l'amusa tout d'un coup.  - T'es jaloux?- Demanda-t-elle les yeux ronds.  - J'hallucine, t'es vraiment jaloux.- Ajouta-t-elle en se rapprochant de lui à nouveau. Au fond, elle était jalouse aussi, elle était terriblement jalouse de devoir le partager maintenant, mais ça elle n'avait clairement pas envie de lui avouer.  - Si tu veux t'en aller, je t'en prie. - S'exclama-t-elle en lui indiquant la sortie qu'il connaissait déjà. Il avait un mariage a préparer alors elle n'allait pas l'enfermer, l'emprisonner chez elle. Si il voulait partir, il n'avait qu'à partir, elle trouverait une autre occupation pour la journée. Cela s'entendait à ses paroles, à cette phrase qu'elle voulait qu'il reste et elle espérait qu'il comprenne sinon elle allait devoir jouer les faibles et le rattraper. Un dilemme et des sentiments qu'elle n'arrivait pas à contrôler, à avouer.  

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MessageSujet: Re: (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now   (#185 ; is) i know you want me too, even if it's not now Empty

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