| | | you shouldn't mess with boys that are bigger than you. |  |
| | Auteur | Message |
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 | | Sujet: you shouldn't mess with boys that are bigger than you. Mar 19 Juil - 16:57 | |
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Derelian, Nick
| to die, to sleep ; to sleep, perchance to dream ;
ay, there's the rub, for in this sleep of death what dreams may come...
words, words, words |
©img/w. shakespeare.
nom complet □ sir nicholas james derelian. surnom □ nick. âge, date de naissance □ un onze juin. signe astrologique □ gémeaux. origines et nationalité □ américaines, mais on suppose que son nom de famille provient d'une ancienne noblesse française et s'écrivait autrefois de, plus loin, relian. nationalité américaine. job, études, statut monétaire □ analyste pour la central intelligence agency des états-unis. son salaire est conséquent aux heures qu'il y passe. statut civil □ seul, à quoi vous vous attendiez ? statut familial □ il n'a plus que sa mère, son père était militaire et est mort d'un arrêt cardiaque il y a sept ans. traits de caractère □ indépendant, sérieux, têtu et borné, secret (voire mensonger au besoin), facilement énervé, sans doute trop priseur du contact physique. à Boston depuis □ auparavant à washington, il s'est installé il y a quelques mois dans la toute nouvelle station de la cia à boston. soirée idéale □ un bon whisky et une jolie (vraiment, pas fakeup) femme. rituel(s) du matin □ pisser, puis se regarder dans la glace de la salle de bain. pour vérifier s'il a toujours la même tête que la veille. pour voir à quoi 'il' ressemble. gourmandise(s) préférée(s) □ un caffè americano de chez starbucks. plat préféré □ aucun, il bouffe surgelé la plupart du temps. groupe □ waffle chocolate.
Votre blague de prédilection ? c'est deux grains de sable qui arrivent à la plage : 'putain, c'est blindé aujourd'hui...'. comme vous pouvez le saisir sans trop de mal, il ne fait pas de blagues.
Votre technique de drague? montrer la carte de la cia, ça marche à tous-les-coups, elles se croient direct dans un film.
Votre alcool favori? un hibiki 17.
Votre tenue fétiche? l'éternel costard noir du boulot.
Le petit déjeuner parfait? celui qui a lieu sans que le téléphone sonne, autrement dit, celui qui n'a jamais lieu.
- SHAKE YOUR HAIR, HAVE SOME FUN
ϟ Nick n'a pas toujours été analyste. Ses premières armes pour le compte du gouvernement, il les a faites en tant que lieutenant dans l'us army. Après avoir été longuement observé et testé sur le terrain, la CIA lui a proposé de prendre une retraite anticipée et de le former à l'analyse. ϟ Travailler seul ne lui pose pas de problème, mais ses capacités de leader (vérifiées à l'armée) font de lui une valeur ajoutée dans l'univers de l'analyse, puisqu'il travaille très facilement en équipe et sait comment communiquer un ordre sans faire de remous. ϟ Il n'a évidemment pas le droit de parler des détails de son activité. Son observation des mouvements, changements, révolutions ayant lieu dans le monde (il a des zones de surveillance spécifiques et liées aux missions effectuées pendant son séjour militaire) lui sert à anticiper, le plus rapidement possible, les effets de ces derniers sur l'Amérique et sa politique, sa population. En tant qu'analyste, ce n'est pas lui qui donne l'ordre d'agir aux forces américaines. Il prévient, il communique. ϟ Le fait qu'il possède l'étiquette 'homme de terrain' et non universitaire de haut rang le sert autant qu'il peut lui nuire. Ça a ses avantages comme ses inconvénients. ϟ Très poreux et ouvert aux autres cultures (eh oui, c'est possible à un Américain), il écoute des musiques rapportées de nombreux pays, lit des journaux étrangers, ne se ferme à rien. Cette honnêteté profonde de la démarche l'aide chaque instant dans son métier, dans les contacts qu'il noue. ϟ La manipulation et le mensonge ne lui font pas peur, ne l'ont jamais effrayé. Tout est une question de fond, de dosage, de finalité. Selon lui, il est important de comprendre, avant d'insinuer que les autres nous mentent, que la première personne à nous manipuler, c'est nous-même. Absolument tout le temps et pour n'importe quoi, depuis les choix décisifs que nous faisons jusqu'à tel ou tel yaourt dans un supermarché. ϟ Il aime les femmes, mais elles et lui n'ont jamais réussi à s'entendre plus d'une nuit. ϟ Avant de partir sur le terrain, en tant que militaire, il avait un grand chien, un cane corso gris bleu. Il a du s'en séparer étant donné que personne ne pouvait le lui garder pendant une durée aussi indéterminée. Ça lui a brisé le coeur. ϟ Il boit, sans doute un peu trop, depuis qu'il est à la CIA, mais ne fume pas.
pseudo, prénom □ holster. âge, pays □ vingt-cinq, france. avis sur le forum □ c'est trop beau, faites-le durer. type de personnage □ inventé, pré-lien) avatar □ andrew cooper. dédicace & autre □ vos smileys sont tellement, tellement mignons, j'en peux plus. |
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| | Sujet: Re: you shouldn't mess with boys that are bigger than you. Mar 19 Juil - 16:58 | |
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- STICK IT OUT TOGETHER LIKE WE ALWAYS DO
Au bout de quelques mois, le raï vieillot qui passe sur les radios de la mer d’Oman devient insoutenable. Est-ce que ce peuple sait chanter autre chose ? On finit par croire que non, et on balance dans le HMS Daring nos vieux cd style Between the Buttons. La guerre, c'est old school. Ça fait un moment que la nuit a cessé de nous faire peur. Mais l'a-t-on jamais craint ? Les gars sont assis ou allongés dans les hamacs dépliés autour du feu qui crépite et que l’embrun n’a pas encore trempé, d'autres le cul sur leur sac à dos, d'autres carrément étalés contre les sacs de sable. Les cheveux collés par l’air mouillé de l’océan indien (de toute façon, on le bouffe toute la journée, on a fini par l'avoir dans la peau, incrusté sous les ongles, dans les dents, à l'intérieur du nez, on est faits d’embruns), certains appuyés contre l'avant du bastingage. Les bières qu'on cogne les unes contre les autres teintent le rock éraillé d'une note faussement joyeuse : on boit ce qu'on a, et ça suffit pas à nous faire oublier ce dont personne ne parle. Nick vise l'horizon vide de la pointe de son colt m4, accroupi derrière un mât. Il a l'impression que la visibilité merde un peu, à moins que ce soit ce putain d’embrun incrusté dans les yeux qui floute sans arrêt la perception... Le prénom « Andrew » lui parvient depuis le feu de camp improvisé dans un bidon d’essence. il jette un œil de côté, sans lâcher sa visée. Williamson est en train de mimer une pipe avec sa main et sa joue devant Andrew Waylis. Il secoue la tête, désespéré, et redresse le colt pour retenter une visée. Les éclats de rire des gars dans affalés contre les sacs de sable le hérissent soudain et il ferme les yeux pour tenter de retrouver son calme. ils sont fatigués, ils ont besoin de lâcher la pression, les engueuler ne leur servira pas. — Tu suces pour … attends... trois dollars ? Rires gras. — Soixante-sept roupies ? Nick jette à nouveau un œil au groupe, et son regard se pose sur Andrew, en train de se faire vanner. Forcément, il est jeune, blond, sec, avec sa gueule d'ange, il allait forcément se faire vanner par le groupe, quel que soit son grade. Mais les yeux de Nick se plissent pour mieux distinguer le visage d'Andrew. la vanne semble mal passer. L’expression d'Andrew est fermée et... ses mains sont crispées contre sa carabine. Tout se passe alors très vite. Nick capte que la vanne n'en est absolument pas une, que le gosse est proche de péter les plombs. Il se lève d'un bond, saute par dessus les caissons et les sacs et s'avance d'un pas rapide vers le feu de camp. Les plaisanteries s'arrêtent à peine a-t-il posé un pied au milieu du cercle de soldats. C'est pas vraiment lui qui fait cet effet, c'est plutôt le grade. L'uniforme a forme de loi, dans l'armée. Il cale son colt contre son dos et ses deux mains soulèvent Williamson et Carter par leur uniforme, les traine à l'écart et les balance tous les deux contre le mât, sur lequel ils rebondissent, le souffle coupé. Sans prévenir, Nick braque son m4 sur les deux soldats et vise. — Lieutenant... Nick les regarde des deux yeux, l'un au travers le viseur, l'autre au travers l'atmosphère. — Un truc que vous avez pas compris les gars : on pourra pas tous rentrer au bercail. La guerre, ça fait des morts, vous le savez ça ? Pas toujours les bons, mais ça en fait un paquet. Et, vous voyez, au Pakistan, on meurt pas assez. C'est ce que pense notre gouvernement, et c'est ce qu'il a dit dans une lettre arrivée pas plus tard que ce matin. Sacrifier plus de soldats anglais pour la gloire de la nation. Pour montrer qu'on se touche pas pendant cette mission, pour qu'on parle de nous aux informations, vous pigez ? Non, ils pigent que dalle si ce n'est ce putain de colt à quelques centimètres de leur putain de front. — J'ai dit oui, moi, poursuit le lieutenant Derelian, toujours aussi calme et tendu à la fois. — Ouais pour plus de morts, à condition que je choisisse qui part et qui reste. Il charge et les deux soldats s'écrasent en arrière contre le mât, métallique tétanisés. — Hier j'ai perdu Anton et James, et qu'est-ce qu'il me reste ? Deux connards comme vous ? Non les gars, non, ça je l'accepte pas. Anton et James sont pas morts pour que deux sous-merdes comme vous puissiez respirer, bouffer, boire, chier et se foutre de la gueule d'un soldat. Alors je vais vous laisser le choix. Un choix plutôt large, vous me remercierez plus tard. Je peux vous buter immédiatement, vous sentirez rien passer parce que le tir sera tellement énorme que vos têtes exploseront en entier sur le coup. J'écrirai une lettre à vos copines pour leur dire que vous avez été de braves petits héros mais que, malheureusement, deux méchants pirates enturbannés vous ont balancé une grenade sur la gueule. Je leur dirai de pas vous pleurer trop longtemps parce que vous étiez quand même deux pauvres merdes, parole de lieutenant. Second choix, je peux appeler Achraf, là bas, de l'autre côté de la zone, et lui proposer deux de mes gars pour vider les couilles des siens. Je vous escorte jusqu'à là-bas, je vous lâche dans un canau sécurisé, et je vous récupère demain à sept heures. Ça vous fera à peu près cinq heures pleines de bites dans le cul, de quoi vous passer l'envie d'en parler jusqu'au prochain millénaire. Et troisième choix, parce que je suis vraiment un lieutenant sympa : vous fermez vos gueules sur la sexualité de n'importe quel putain de soldat dans tout le pays ou je vous grave « gay pride » sur le front avec mon canif rouillé. Il redresse son colt sur son épaule. — Je suis tout disposé les gars. Filez vos ordres. Williamson et Carter se glissent avec lenteur sur le côté du mât sans quitter des yeux le colt, s'écrasent à terre et rampent jusqu'au feu de camp, la queue serrée entre les jambes. Nick renifle – quelque chose comme du sable, pour changer des embruns – et se masse la nuque, s'appuie contre le mât et fixe la nuit noire. Peu à peu, les gars partent dormir quelques heures dans les hamacs, préférant éviter les cabines trop humides, et des pas crissent contre le sable échoué sur le pont dans sa direction. Il ne se retourne pas, parce que ça n'a plus d'importance. — Lieutenant ? La voix d'Andrew Waylis résonne dans l'obscurité et brise le silence. Nick se retourne et s'accoude contre le mât, lui jette un regard dur. — Casse-toi. Andrew hausse un sourcil, redresse les épaules. — C'est pas... — Barre-toi. Il le regarde secouer la tête et faire demi tour jusqu'au hamac, écraser une bière d'un talon rageur, et se laisser tomber puis s’enrouler dans le tissu vert.
Nous essayons d'avancer dans la poussière, mais le sang colle nos pas à la terre et la chaleur nous enferme dans nos treillis. Ces gars n'ont pas l'habitude d'évoluer au sol, mais j'ai du les convaincre qu'ils sont soldats, donc polyvalents, et maintenant fermez vos gueules. J'entends des tirs au loin, perdus dans l'horizon invisible, je peux seulement distinguer les bottes de mes hommes, devant moi, de chaque côté de mon corps qui avance dans un nuage de sable, et les crissements de nos caoutchoucs contre les cristaux minuscules. Les bottes encore mouillées de la mer d'Arabie que nous avons traversée depuis les canaux. Soudain, les cris et les tirs se rapprochent et je n'ai pas besoin de le dire, ils y vont, s'engouffrent dans la bouche ouverte du dragon d'orient, se jettent à plat ventre, s'accroupissent. Je pose un genou à terre et, ma carabine à l'avant, je vise les formes noires qui nous entourent. Elles s'effondrent peu à peu comme les panneaux de carton d'un jeu de fête foraine. Le bateau nous attend, on a encore le temps, le temps, le temps, le temps semble s'être arrêté, et nous tirons, tirons, tandis que nos cerveaux ne pensent plus qu'avec nos yeux qui détaillent l'ennemi devant nous, nous tirons, tirons sans réfléchir à rien d'autre qu'à tirer, parce que c'est soit tirer, soit se faire tirer. Une odeur de merde nous envahit, celle que certains ne comprendront pas et celle qui bousillera les autres pour le restant de leur vie. L'odeur des tripes humaines à l'air. Aucune idée desquelles. Pas les miennes, c'est ce qu'on se dit jusqu'à la fin. Ils vont pas nous laisser remonter, putain. On est morts. Certains sont peut-être tombés. Pour après. Les corps apparaissent plus tard, quand les cris et le feu cessent et que la poussière retombe lourdement contre le sol tâché. Je mouche mon nez rempli de sable et de sang contre ma manche, m'appuie sur la carabine et me relève lentement. Mes rétines envoient à mon cerveau des centaines d'images saccadées, mitraillées. Je me souviens, maintenant, d'avoir entendu Peter tomber. Sa bouche fendue en un dernier rire m'adresse une insulte silencieuse, et son regard semble voilé quand il fixe comme ça le ciel muet. C'est la première fois que je vois Peter regarder le ciel. Y'avait pas plus terrien que cet enculé. Le cri de Johnson me parvient soudain et je me retourne pour savoir ce qu'ils foutent. Le village se dessine au travers le rideau de granules de sables éparses. Désert. A terre, un Pakistanais agonise. Le turban sur sa tête est tombé à terre, le sang qui s'écoule de sa nuque l'a rendu pourpre. Son crâne a été touché par un tir, et sa respiration semblable à un râle monte jusqu'à mes oreilles, fort, si fort que je me demande si ce n'est pas plutôt la mienne, que j'entends. La botte noire de Johnson est posé sur ce crâne couleur de bronze, il appuie pour faire rire les autres, et la tête du soldat craque et suinte, prête à se fendre et à lâcher son âme dans les creux de cette semelle anglaise. J'ouvre la bouche pour lui crier d'arrêter ses conneries, de laisser ce type, mais rien ne sort. Je sens mon ventre se tendre pour lancer l'appel, mais rien ne vient stopper les rires de mes hommes. La botte presse plus fort et l'homme ferme les yeux. L'homme. Il n'a plus la force de gémir. Je hurle à Johnson que c'est un ordre, un putain d'ordre, vire ton putain de pied de là, on remonte à bord, on remonte à bord. Je devrais l'appeler par son nom, directement et frontalement. Rien ne sort et le crâne s'ouvre, et déjà, des morceaux de cervelle dégueulent de la fente rougeâtre. Vire-ton-putain-de-pied. Mais Johnson me regarde, souriant, et attend mes ordres. Il n'entend pas. Je prends mon élan pour courir vers lui et lui coller une droite qui le fera dégager de là. Chaque muscle de mon corps se tend au ralenti, je ne bouge pas du sol. Je gesticule et mes bras sont lourds comme deux enclumes. Johnson rit et lève le pied. Ma respiration s'arrête. On est morts. Le pied s'abat sur le crâne qui éclate en des milliards d'étincelles rouge et or.
Je me réveille en sursaut, une sueur glacée recouvrant tout mon corps. J'expédie les draps loin de moi et cherche, comme un fou, le soldat à terre. Mais sur la terre, deux pieds nus, reliés à deux jambes, reliées à un torse, relié à un cou, et cette tête, toujours cette même tête, symbole que le réel est revenu, signe évident que je suis toujours vivant. Erythraíā « la Rouge », c'est comme ça qu'on dit.
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| | Sujet: Re: you shouldn't mess with boys that are bigger than you. Mar 19 Juil - 17:33 | |
| merci beaucoup  trop mignonne, merci énormément :whouuu: j'espère que la suite ne te décevra pas  |
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| | Sujet: Re: you shouldn't mess with boys that are bigger than you. Mar 19 Juil - 18:02 | |
| oh merciiii c'est la première fois que je vois un 'agent d'escale' sur un forum  tu me gardes un lien au chaud ?  |
| | | | Reva Schuyler
✻ and now that i'm without your kisses i'll be needin stitches.
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| | Sujet: Re: you shouldn't mess with boys that are bigger than you. Mer 20 Juil - 10:58 | |
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| | Sujet: Re: you shouldn't mess with boys that are bigger than you. Mer 20 Juil - 11:10 | |
| priyanka merci  en plus t'as que des meufs dans ta liste de liens, je m'en vais actualiser tout ça   je fonce lire ta pres, et ensuite je me pose dans ta fiche de liens :whouuu: fiou, ça va l'egoboost du matin ?  merci infiniment  et je viens de lire le métier de Poppy... il nous faut un lien  |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: you shouldn't mess with boys that are bigger than you. Mer 20 Juil - 15:53 | |
| bienvenue sur le forum  hâte de travailler avec vous, monsieur l'agent  |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: you shouldn't mess with boys that are bigger than you. Mer 20 Juil - 16:37 | |
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| | | | Reva Schuyler
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| | Sujet: Re: you shouldn't mess with boys that are bigger than you. | |
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J'avais envie de changer des métiers qu'on voit d'habitude! 
